Extrait du livre Calepin d’un flâneur de Félix Leclerc, publié aux Éditions Fides
« Depuis le temps que l’égoïsme mange la charité. Quel mystère qu’elle soit encore vivante. »
Et l’obole que je ne dépose plus à l’église reste au fond de ma poche quand je passe trop pressée pour voir les démunis sur ma route.