Le prétexte ordinaire de ceux qui font le malheur des autres est qu’ils veulent leur bien. – Vauvenargues
Tiré du livre Des pensées pour la nuit, Collectif, Éditions Lauzier
Laisser parler et faire à sa tête.
Art et culture |
Le prétexte ordinaire de ceux qui font le malheur des autres est qu’ils veulent leur bien. – Vauvenargues
Tiré du livre Des pensées pour la nuit, Collectif, Éditions Lauzier
Laisser parler et faire à sa tête.