En quelques mots, comment présenteriez-vous votre livre ?
C’est un roman polyphonique qui aborde les thèmes de la famille et du couple, du rejet et de l’identité.
Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire cet ouvrage et à le publier ?
Peut-être l’urgence de mettre au monde les enfants que je n’ai pas eus.
En quoi se distingue-t-il d’autres ouvrages qui seraient comparables ?
Son unicité pourrait reposer sur l’éclatement de la narration.
À votre avis, à qui votre livre s’adresse-t-il ?
Le sujet intéressera les lecteurs de 13 à 93 ans.
Avez-vous des rituels d’écriture ? Lesquels ?
Un peu de social entre deux moments d’écriture dans la journée.
Quels sont les écrivains et les œuvres qui vous ont le plus marqué ?
Louis-Ferdinand Céline pour Mort à crédit, Albert Camus pour L’Étranger, John Steinbeck pour À l’est d’Éden, et plus près de chez nous Sylvain Trudel pour Du mercure sous la langue.
Qu’est-ce qui vous passionne ?
La littérature, les chats et, depuis quelques années, l’astrophysique.
Quels sont vos projets ?
Écrire tant et aussi longtemps que ma condition me le permettra.
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